Veuillez trouver ci-dessous l’additif à l’avis de vacance d’emplois de directeur adjoint ou de directrice adjointe d’établissements sanitaires, sociaux et médico-sociaux du 6 février 2024, publié au JO du 11 février. Il modifie l’intitulé d’un poste et en ajoute cinq : centre hospitalier public d’Hauteville et EHPAD de Cerdon (direction commune avec les centres hospitaliers de Bourg-en-Bresse, de Pont de Vaux et EHPAD de Coligny et de Montrevel-en-Bresse) (Ain), directeur des finances et des moyens opérationnels ; groupement hospitalier Aube Marne à Romilly-sur-Seine (Aube), directeur adjoint en charge des filières d’aval (hébergement et rééducation) ; centre hospitalier d’Auxerre, de Clamecy (Nièvre), Directeur délégué du site du CH de Clamecy ; centre hospitalier intercommunal Compiègne-Noyon (Oise), directeur délégué aux EHPAD de Cuts et de Beaulieu-lès-Fontaines ; groupe hospitalier de la Haute-Saône à Vesoul (Haute-Saône), directeur adjoint à la direction des ressources économiques, logistiques et techniques, chargé des ressources économiques et logistiques. CONSULTER L’ADDITIF DU 11 FEVRIER CONSULTER L’ADDITIF DU 8 FEVRIER CONSULTER L’AVIS DE VACANCE DU 6 FEVRIER
Auteur/autrice : SYNCASS-CDFT
La délégation régionale SYNCASS-CFDT de Bretagne vous invite à une rencontre : Vendredi 23 février 2024 à partir de 10H00 Au centre hospitalier Guillaume Regnier, Rue du Moulin de Joué, 35700 Rennes Cliquez sur l’image pour voir le plan INSCRIPTION Ordre du jour : 10h00-10h15 : accueil café 10h15-11h00 : intervention de Lionel PAILHE, secrétaire général adjoint du SYNCASS-CFDT sur l’actualité nationale et les discussions statutaires en cours. 11h00-11h30 : échanges avec les représentants de l’équipe nationale du SYNCASS-CFDT. 11h30-13h00 : échanges sur l’actualité régionale (mouvements ; situations financières des établissements ; difficultés, attentes et questionnements des adhérents ; campagne d’évaluation…). La réunion sera suivie d’un déjeuner libre dans un restaurant à proximité (à déterminer en fonction du nombre de participants). Pour faciliter l’organisation de cette réunion, merci de penser à vous inscrire avant le 19 février 2024. La délégation régionale : Caroline ABEL, conseil départemental du Morbihan, Vannes Pascal BENARD, directeur au CH Guillaume Regnier, Rennes Julien BRUNET, directeur à l’EHPAD des Abers, Lannilis Youen CARPO, directeur au CH du Penthievre et du Poudouvre, Lamballe Gaël CORNEC, directeur adjoint au CH de Guingamp Maud GALLARD, attachée administration hospitalière au CH de Saint Malo, Dinan, Cancale Karelle HERMENIER, directrice adjointe au CHI de Cornouaille, Quimper Véronique LESCOP, coordinatrice des instituts au GH Bretagne Sud, Lorient Alain TROADEC, coordonnateur général des soins au CHRU de Brest
Veuillez trouver ci-dessous l’avis de vacance d’emplois de directeur adjoint ou de directrice adjointe dans les établissements publics de santé, publié au JO de ce jour. Il propose sept emplois. CONSULTER L’AVIS DE VACANCE
Veuillez trouver ci-dessous l’additif à l’avis de vacance d’emplois de directeur adjoint ou de directrice adjointe d’établissements sanitaires, sociaux et médico-sociaux du 6 février 2024, publié au JO de ce jour. Il modifie l’intitulé du poste de la maison de retraite de la Loire de de Saint-Just-Saint-Rambert (Loire). Il ajoute deux postes: foyer départemental de l’enfance et de la famille de l’Hérault (Hérault), centre hospitalier de Vendôme Montoire (Loir-et-Cher), directeur de la filière gériatrique. CONSULTER L’ADDITIF À L’AVIS DE VACANCE DU 6 FEVRIER CONSULTER L’AVIS DE VACANCE DU 6 FEVRIER
Veuillez trouver ci-dessous l’avis de vacance d’emplois de directeurs ou directrices d’établissements sanitaires, sociaux et médico-sociaux, publié au JO de ce jour. Il propose 37 emplois de chef d’établissement : 8 AEF, 29 autres emplois. CONSULTER L’AVIS DE VACANCE DE CHEF D’ÉTABLISSEMENT
Veuillez trouver ci-dessous l’avis de vacance d’un emploi de conseiller pédagogique régional ou de conseillère pédagogique régionale, auprès de l’agence régionale de santé Occitanie, publié au JO de ce jour. CONSULTER L’AVIS DE VACANCE
Veuillez trouver ci-dessous l’avis de vacance d’emplois de directeurs adjoints ou de directrices adjointes d’établissements sanitaires, sociaux et médico-sociaux, publié au JO de ce jour. Il propose vingt-cinq emplois. CONSULTER L’AVIS DE VACANCE
La proposition de loi portant mesures pour bâtir la société du bien-vieillir en France est en cours d’examen au Sénat en séance publique selon la procédure accélérée. Si le dépôt de certains amendements était connu depuis les travaux de la commission des affaires sociales, il en est un totalement inattendu proposé en séance concernant les directeurs d’EHPAD. Ainsi, il est proposé d’insérer un article 1er bis BA précisant : « L’article L. 315‑9 du code de l’action sociale et des familles est complété par un alinéa ainsi rédigé : Par dérogation au premier alinéa, les établissements mentionnés au I de l’article L. 313‑12 sont dirigés par un directeur nommé par l’autorité compétente de l’État après avis du président du conseil départemental. » Cette nouvelle disposition statutaire est justifiée par les sénateurs au motif que : « L’État demande aux services départementaux de contrôler les EHPAD publics, sans leur donner une autorité fonctionnelle, donc réelle et effective, sur les directeurs d’établissement. Il est nécessaire de confier au Département le recrutement, la nomination et l’évaluation des directeurs des EHPAD. Cet amendement reprend le modèle de ce qui existe pour les services départementaux d’incendie et de secours (SDIS), d’autant plus que les rémunérations des directeurs d’EHPAD sont intégralement financées par les Départements (au titre de la section d’hébergement). Ainsi, cet amendement prévoit que les directeurs d’EHPAD publics puissent être désormais nommés conjointement par l’ARS et le président du Département. L’amendement a été travaillé conjointement avec l’ADF ». A noter en outre que le terme « d‘avis conforme » du président du conseil départemental a été proposé dans une première écriture. Cet amendement est un très mauvais message envoyé aux D3S alors que des discussions statutaires sont en cours avec la DGOS pour restaurer l’attractivité de ce corps et de ses emplois. Il se fonde de plus sur un argumentaire qui méconnaît totalement les règles statutaires ainsi que celles de financement et d’autonomie juridique des EHPAD. En effet, la seule autorité hiérarchique que connaissent les directeurs de la FPH est celle de la Directrice générale du CNG. De même, les conseils départementaux ne financent pas le salaire des directeurs. Ce sont les résidents qui le financent, par le biais des prix de journée dont ils s’acquittent. L’aide sociale à l’hébergement, mécanisme de substitution à la charge des conseils départementaux, ne représente globalement que 25 % des résidents d’EHPAD publics et peut faire l’objet de récupération sur succession. Les D3S n’ont pas oublié les effets néfastes de la loi 3DS imposant la transposition à la FPT des emplois de directeur des établissements de la protection de l’enfance, afin de satisfaire les souhaits de quelques conseils départementaux. Depuis le 22 février 2023, date à laquelle tous les D3S en poste ou prenant des fonctions de chef d’établissement devaient être détachés dans la FPT, nombre d’entre eux ont quitté ou cherchent à quitter leur emploi. Ils sont, pour leur grande majorité, remplacés par des attachés territoriaux sans diplôme ou formation équivalents. Cette modification de la gouvernance des établissements n’a en rien modifié leur situation ni celle des personnes accompagnées. Transférer le choix du directeur d’une autorité publique à une autre ne fait pas une politique publique, cela ne crée pas de moyens ni n’améliore l’attractivité ni la qualité de prise en charge des établissements Le SYNCASS-CFDT va interpeller la DGOS ainsi que la directrice générale du CNG pour les alerter sur le risque que représente cette modification statutaire en termes de reconnaissance des D3S et d’attractivité des emplois de directeurs d’EHPAD. Il va également porter ses arguments auprès des membres de la commission mixte paritaire qui devra se réunir à la suite de la séance publique au Sénat, afin que cet amendement soit retiré. Le corps des D3S n’a pas besoin de ce mauvais coup !
Veuillez trouver ci-dessous l’avis de vacance d’emplois de directeur adjoint ou de directrice adjointe dans les établissements publics de santé, publié au JO de ce jour. Il propose quatre-vingt-neuf emplois. CONSULTER L’AVIS DE VACANCE
Cette première instance collégiale de l’année est l’occasion de présenter à chacune et chacun nos meilleurs vœux et de prendre, individuellement comme collectivement, de bonnes résolutions. Le SYNCASS-CFDT sacrifie à cette tradition en souhaitant en premier lieu que cette instance, qui s’appuie sur un travail de préparation conséquent, aussi bien pour les équipes du CNG que pour les partenaires sociaux en lien avec les candidats, continue à être riche et constructive dans le respect des règles de fonctionnement traduites dans les lignes directrices de gestions, validées en comité consultatif national. Pour cette nouvelle année, le SYNCASS-CFDT tient également à formuler le vœu qu’enfin, un dialogue social respectueux soit la porte d’entrée de tous les dossiers : que rien ne se fasse dans nos secteurs sanitaire, social et médico-social, sans une écoute des directeurs, que leur place et responsabilités soient reconnues. Nous débutons l’année 2024 dans une grande incertitude liée à l’instabilité ministérielle. La valse des occupants de postes, symbolisant au plus haut niveau la conduite des politiques publiques, interroge sur les priorités affichées et réellement portées. Ainsi, nous avons connu, depuis le mois de mai 2017, cinq ministres de la santé et six ministres des solidarités, sans compter les ministres intérimaires ! Notre secteur est dans l’expectative quant à l’organisation détaillée du vaste ministère du travail, de la santé et des solidarités qui va devoir sans tarder piloter des dossiers et projets majeurs : C’est le cas du sort des praticiens étrangers à diplôme hors Union européenne. Bien souvent indispensables à l’équilibre des équipes et au fonctionnement des établissements de santé. Les inquiétudes sur leur devenir et des situations personnelles toujours complexes, parfois dramatiques, illustrent le caractère profondément vicié et infondé d’une loi immigration votée à la hussarde, dont le Conseil constitutionnel a finalement censuré, comme il était prévisible, la très grande majorité des articles dont il était saisi. C’est le cas de la loi de programmation pour le grand âge, pour laquelle un nouvel engagement ministériel a été pris de faire voter les parlementaires avant la fin de l’année. Espérons qu’elle ne connaisse pas le sort de la ministre qui l’a récemment relancée. Il est primordial que l’objectif perdure tant le secteur, dans toutes ses composantes, est fragilisé face aux besoins et attentes grandissants. C’est le cas de la crise financière majeure que traversent les EHPAD publics, acteurs incontournables des filières gériatriques de territoire, pour garantir une prise en charge digne et en proximité du grand âge. Il y a en effet urgence à assurer, par des mesures d’envergure, leur pérennité. Cela passe par l’abondement de leurs ressources pour tenir compte du niveau d’inflation réellement constaté et compenser enfin les revalorisations salariales indispensables intervenues depuis le Ségur. C’est le cas de la création des GTSMS portée dans la proposition de loi bien vieillir, qui sera présentée au Sénat en séance publique le 30 janvier prochain, et annoncée comme une évolution majeure de la structuration territoriale des établissements médico-sociaux. Le SYNCASS-CFDT sera particulièrement vigilant sur la conformité statutaire des règles de nomination de ces futurs directeurs de GTSMS. C’est le cas du plan « 50 000 nouvelles solutions », pour les personnes en situation de handicap, issu des assises et de l’engagement des acteurs. Il doit permettre l’éclosion de toutes les opportunités répondant aux défis de l’accompagnement des personnes, en commençant par le traitement de l’attractivité des métiers et l’extension, inachevée et toujours revendiquée, du CTI à tous les agents du secteur. Mais que penser, enfin, de l’escamotage du ministère de la transformation et de la fonction publiques, au seuil d’une loi et d’une réforme annoncées d’ampleur, puis de son rattrapage annoncé mais non encore confirmé ? Quelle place pour le dialogue social à travers le cycle de négociations à peine entamé ? Quel respect pour les forces vives de l’Etat que sont les fonctionnaires et agents publics ? Le ministère devra se pencher sur l’issue des discussions statutaires en cours pour les trois corps de direction qui vise à traduire la réforme de la haute fonction publique dans le versant hospitalier. Des avancées fortes sont nécessaires pour en restaurer l’attractivité, notamment celle des D3S. Ainsi, cette instance collégiale ne démentira malheureusement pas la tendance des précédentes, à savoir le faible nombre de candidatures sur les chefferies D3S. Cette morosité s’observe de façon significative et inquiétante pour les postes ouvrant l’accès à l’échelon fonctionnel, le plus haut niveau de responsabilités avant les emplois fonctionnels : sur les quatorze postes proposés, trois emplois ne recensent qu’une unique candidature et deux aucune. Les autres emplois comptent au mieux six candidatures. Même les régions les plus attractives, telles que la Bretagne, ne suscitent pas plus de trois candidatures dans le Morbihan et six en Ille-et-Vilaine. Ainsi, entre les quatorze postes restés vacants et ceux qui ne seront pas pourvus à l’issue de la procédure, une part importante nécessitera de nouveaux intérims, souvent longs, parfois imposés, ou la poursuite de ceux en cours, ou encore l’accélération des recompositions, justifiée principalement par l’absence de chef, ce qui n’est jamais un motif suffisant ou stimulant au regroupement des structures. Pour toutes ces raisons, les D3S s’engagent de plus en plus nombreux dans une carrière au sein d’une équipe de direction, principalement dans le corps de DH. Comment ne pas le comprendre au regard de l’écart statutaire entre ces deux corps pourtant comparables ? Rappelons que le plafond de PFR d’un DH sortant de l’EHESP en classe normale est le même que celui d’un chef d’établissement fonctionnel D3S. Cette iniquité, alors que les responsabilités sont à minima équivalentes, génère l’incompréhension des collègues, notamment lorsqu’ils sont dans des équipes de direction où les trois corps sont représentés. Elle conduit parfois certains directeurs d’hôpital à tenter de détourner les règles de détachement dans le corps des D3S pour limiter leur perte de rémunération. Le ministère doit tirer les leçons de cette désaffection croissante et porter la revalorisation statutaire qui s’impose, dans l’intérêt des collègues comme des établissements et des usagers accueillis. Le SYNCASS-CFDT réaffirme à cette occasion son objectif pour ces discussions : tous les collègues doivent s’y