N°177 : Le fait de décider de reculer l’âge légal de départ à la retraite de 62 ans à 64 ans n’est pas sans impact pour les seniors, et ce même si en fonction de leur année de naissance, certains n’auront que quelques trimestres de plus à effectuer ou à ajouter en demeurant inscrits à pôle emploi, faute d’emploi retrouvé, avant de pouvoir prendre leur retraite. En effet, nous l’avons écrit à plusieurs reprises, un grand nombre de salariés cadres âgés dits « seniors » sont déjà inscrits comme demandeurs d’emploi à l’assurance chômage au moment de la publication de la loi relative à la réforme des retraites. Alors quid de leur devenir en ajoutant des trimestres supplémentaires avant de pouvoir déclencher leur retraite ?
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N°176 : C’est la loi n° 2033-270 de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2023 relative à la réforme des retraites qui a prévu une harmonisation des taxations des ruptures conventionnelles et des mises à la retraite.
N°175 : La prime de partage de la valeur anciennement appelée « la prime Macron » est l’une des mesures de la Loi n° 2022- 1158 du 16 Août 2022 portant mesures d’urgence pour la protection du pouvoir d’achat.
N°174 : Nombreuses sont les personnes qui pensent que les pharmaciens ont gagné et gagnent encore des salaires plus que convenables sans distinguer le pharmacien adjoint du pharmacien titulaire ne serait-ce qu’en Pharmacie d’Officine. Combien de fois nous sommes nous entendu dire : « mais que font les pharmaciens dans un syndicat – ils n’ont aucun souci, ce sont des nantis… » – songeant certainement immédiatement au chiffres d’affaires des pharmacies. Mais bien au contraire, les pharmaciens salariés rencontrent de ombreuses difficultés et lorsque ceux-ci nous contactent, ils nous expliquent être confrontés à de nombreux problèmes dont un principalement et non des moindres : celui de leur âge de départ à la retraite.
Tableau d’avancement, date d’effet, classement indiciaire, impact sur la PFR Télécharger le document Lire le document
N°173 : En ce moment, on nous répète sans cesse dans les médias que les officines éprouvent les plus grandes difficultés à recruter. Deux pharmacies sur trois seraient en recherche de pharmaciens adjoints. Certes, les chambres patronales avancent comme première explication la pyramide des âges qui a été mal anticipée dans la mesure où nous constatons tous de nombreux départs à la retraite qui ne sont pas remplacés par les générations qui arrivent mais si ce critère n est pas à négliger, ce dernier n explique pas tout. Il est grand temps que les pharmaciens titulaires reconnaissent qu’eux-mêmes ont rendu la branche de la Pharmacie peu attractive pour des jeunes qui désireraient s’orienter vers cette voie.
Ce mois de février marque le triste anniversaire de l’agression de la Russie contre l’Ukraine. Ce conflit s’est installé dans l’actualité, avec ses rebondissements militaires, ses pertes humaines inconcevables et son cortège d’horreurs. S’il a suscité une réaction coordonnée de l’Europe en soutien de la défense du peuple ukrainien et de l’accueil des réfugiés, ses conséquences à l’échelle du continent sont immenses. Elles bousculent les priorités que nos sociétés doivent arbitrer ; elles amplifient des mécanismes qui déstabilisent nos économies, alimentant en particulier la hausse de certains prix. Consulter l’édito Consulter la newsletter
Dans une actualité générale toujours sombre, où dominent la guerre, le dérèglement climatique et les inquiétudes économiques, nos secteurs d’activité continuent d’alimenter le pessimisme ambiant en particulier du fait de l’altération continue de l’accès aux soins et aux accompagnements. Les dernières semaines n’ont pas interrompu le cycle des crises sectorielles, la pédiatrie ayant relayé un temps les urgences adultes, la psychiatrie, les personnes âgées… Au vrai, aucune de ces crises n’est surmontée. Au mieux, elles passent une acmé qui permet aux pouvoirs publics de communiquer sur l’air du pire qui a été (grâce à eux) évité. Pourtant, pas grand monde n’est dupe. Les dégâts s’accumulent et installent un fatalisme qui pousse au repli sur soi. Il accroît aussi un sentiment d’impuissance publique nourri par des attitudes choquantes, à l’instar du mouvement de grève des examens orchestré par les laboratoires privés. Cette impuissance publique s’est aggravée depuis une gestion de crise épidémique chaotique, dont on discerne encore mal la queue de comète : on se demande pourquoi, par exemple, les pouvoirs publics sont aussi frileux pour agir en prévention, en milieu scolaire notamment, au regard de la précocité des épidémies hivernales ? Si le mot de prévention a été accolé au nom du Ministère, est-ce seulement pour proposer trois consultations gratuites durant la vie de chacun ? Consulter l’édito Consulter la newsletter
N°172 : La pénurie des pharmaciens adjoints semble intéresser les médias car en moins d’un mois vous avez fait l’objet de plusieurs articles dans des revues hebdomadaires et de nombreux documentaires dans les journaux télévisés du 20 heures. Plusieurs pharmaciens titulaires de province et de banlieue parisienne se sont plaints d’accomplir 72 heures seuls, faute d’avoir trouvé un pharmacien adjoint. Certains sont même allés jusqu’à s’inquiéter : trouveront ils un repreneur lors de leur départ en retraite ?
Les différentes formes de mobilité des directeurs de la FPH. Télécharger le document Lire le document